-
Par Sorcière1 le 10 Mai 2005 à 13:30
Je vais t'aimer Sardou/Thibaut
A faire pâlir tous les Marquis de Sade
A faire rougir les putains de la rade
A faire crier grâce à tous les échos
A faire trembler les murs de Jéricho
Je vais t'aimer
A faire flamber des enfers dans tes yeux
A faire jurer tous les tonnerres de Dieu
A faire dresser tes seins et tous les Saints
A faire prier et supplier nos mains
Je vais t'aimer
Je vais t'aimer
Comme on ne t'a jamais aimée
Je vais t'aimer
Plus loin que tes rêves ont imaginé
Je vais t'aimer je vais t'aimer
Je vais t'aimer
Comme personne n'a osé t'aimer
Je vais t'aimer
Comme j'aurais tellement aimé être aimé
Je vais t'aimer je vais t'aimer
A faire vieillir à faire blanchir la nuit
A faire brûler la lumière jusqu'au jour
A la passion et jusqu'a la folie
Je vais t'aimer je vais t'aimer d'amour
A faire cerner à faire fermer nos yeux
A faire souffrir à faire mourir nos corps
A faire voler nos âmes aux septièmes cieux
A se croire morts et faire l'amour encore
Je vais t'aimer
Je vais t'aimer
Comme on ne t'a jamais aimée
Je vais t'aimer
Plus loin que tes rêves ont imaginé
Je vais t'aimer je vais t'aimer
Je vais t'aimer
Comme personne n'a osé t'aimer
Je vais t'aimer
Comme j'aurais tellement aimé être aimé
Je vais t'aimer je vais t'aimer
1 commentaire -
Par Sorcière1 le 18 Mars 2005 à 14:11
J'ai oublié de l'oublier C.Moine
J'ai oublié de l'oublier
Elle qui était mon passé
Cet amour mort à tout jamais
J'ai oublié de l'oublier
Car ce rêve inachevé
Était beau et bête à pleurer
Toi mon cœur reste à ta place
Il ne faut pas que je sache
Rester encore amoureux
Me rendrait si malheureux
Ne plus rêver
Ne plus penser
A tous les deux
J'ai oublié de l'oublier
Moi qui ne voulais plus l'aimer
Cet amour que l'orgueil a tué
J'ai oublié de l'oublier
Mais j'ai voulu me prouver
Qu'il m'était impossible d'aimer
Toi mon cœur reste à ta place
Il ne faut pas que je sache
Rester encore amoureux
Me rendrait si malheureux
Ne plus rêver
Ne plus penser
A tous les deux.
2 commentaires -
Par Sorcière1 le 15 Mars 2005 à 22:43
Si j'étais un homme
Diane Tell
Moi, si j'étais un homme, je serais capitaine
D'un bateau vert et blanc,
D'une élégance rare et plus fort que l'ébène
Pour les trop mauvais temps.
Je t'emmènerais en voyage
Voir les plus beaux pays du monde.
J' te ferais l'amour sur la plage
En savourant chaque seconde
Où mon corps engourdi s'enflamme
Jusqu'à s'endormir dans tes bras,
Mais je suis femme et, quand on est femme,
On ne dit pas ces choses-là.
Je t'offrirais de beaux bijoux,
Des fleurs pour ton appartement,
Des parfums à vous rendre fou
Et, juste à côté de Milan,
Dans une ville qu'on appelle Bergame,
Je te ferais construire une villa,
Mais je suis femme et, quand on est femme,
On n'achète pas ces choses-là.
Il faut dire que les temps ont changé.
De nos jours, c'est chacun pour soi.
Ces histoires d'amour démodées
N'arrivent qu'au cinéma.
On devient économe.
C'est dommage : moi j'aurais bien aimé
Un peu plus d'humour et de tendresse.
Si les hommes n'étaient pas si pressés
De prendre maîtresse...
Ah ! si j'étais un homme !
Je t'appellerais tous les jours
Rien que pour entendre ta voix.
Je t'appellerais "mon amour",
Insisterais pour qu'on se voie
Et t'inventerais un programme
À l'allure d'un soir de gala,
Mais je suis femme et, quand on est femme,
Ces choses-là ne se font pas.
Il faut dire que les temps ont changé.
De nos jours, c'est chacun pour soi.
Ces histoires d'amour démodées
N'arrivent qu'au cinéma.
On devient économe.
C'est dommage, moi j'aurais bien aimé
Un peu plus d'humour et de tendresse.
Si les hommes n'étaient pas si pressés
De prendre maîtresse...
Ah ! si j'étais un homme,
Je serais romantique...
votre commentaire -
Par Sorcière1 le 15 Mars 2005 à 01:47
Message personnel (Francoise Hardy)
Au bout du téléphone, il y a votre voix
Et il y a des mots que je ne dirai pas
Tous ces mots qui font peur quand ils ne font pas rire
Qui sont dans trop de films, de chansons et de livres
Je voudrais vous les dire
Et je voudrais les vivre
Je ne le ferai pas,
Je veux, je ne peux pas
Je suis seule à crever, et je sais où vous êtes
J'arrive, attendez-moi, nous allons nous connaître
Préparez votre temps, pour vous j'ai tout le mien
Je voudrais arriver, je reste, je me déteste
Je n'arriverai pas,
Je veux, je ne peux pas
Je devrais vous parler,
Je devrais arriver
Ou je devrais dormir
J'ai peur que tu sois sourd
J'ai peur que tu sois lâche
J'ai peur d'être indiscrète
Je ne peux pas vous dire que je t'aime peut-être
Mais si tu crois un jour que tu m'aimes
Ne crois pas que tes souvenirs me gênent
Et cours, cours jusqu'à perdre haleine
Viens me retrouver
Si tu crois un jour que tu m'aimes
Et si ce jour-là tu as de la peine
A trouver où tous ces chemins te mènent
Viens me retrouver
Si le dégoût de la vie vient en toi
Si la paresse de la vie
S'installe en toi
Pense à moi
Pense à moi
Mais si tu crois un jour que tu m'aimes
Ne le considère pas comme un problème
Et cours, cours jusqu'à perdre haleine
Viens me retrouver
Si tu crois un jour que tu m'aimes
N'attends pas un jour, pas une semaine
Car tu ne sais pas où la vie t'emmène
Viens me retrouver
Si le dégoût de la vie vient en toi
Si la paresse de la vie
S'installe en toi
Pense à moi
Pense à moi.
votre commentaire -
Par Sorcière1 le 13 Février 2005 à 13:36
Paroles: Philippe Lafontaine, Juan d'Oultremont
Y a que quand le soleil se couche
Que le gris de ses yeux s'irise
Il suffit qu'un rayon la touche
Pour qu'elle rougisse
Y a que quand le vent souffle au large
Sur l'océan de sa peau salée
Que mes mains s'attardent
Que mon corps débarque
Dans ses baies
Y a que quand le dais des nuits s'entrouvre
Que je sens ses doigts qui m'épèlent
Suffit qu'un baiser la découvre
Pour qu'elle se réveille
Quand son dos, sous le duvet, s'embrase
Me laissant cendre de la tête aux pieds
Que mon corps s'acharne
Lui tire des larmes
Sans regret
L'assaillant dans mes villes défaites
S'est vu, près d'elle, en ange déchu
Maudit soit le temps des tempêtes
Ses armes secrètes
Moi je l'aime sans dessous dessus
Même quand ses démons de femmes me défient
Y a que quand le sud-est habille l'aube
Que ses tentations la dévoilent
Il suffit d'allonger l'épaule
Pour qu'elle s'étale
Échappé des flux et des cadences
Au paradis des Dante et Sade idées
Mon corps se déforme
Les saints s'endorment
Fatigués
Quand j'entends résonner les matines
Souffrant des péchés qu'elle avoue
Suffit que la marée s'anime
Pour qu'elle s'échoue
Sur les plaies du désir qui s'échappe
Ou sur le grain d'épiderme à rosée
Sur son ventre las
Je reste là
Où elle est
pour 404 : album fa ma no ni ma
1 commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique